VOYANCE PAR MAIL : QUAND L’éCRIT PERMET UN AUTRE MODèLE DE CONSULTATION

Voyance par mail : quand l’écrit permet un autre modèle de consultation

Voyance par mail : quand l’écrit permet un autre modèle de consultation

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Autre difficulté : le risque de masse. Tous les généralistes ne sont pas du tout à l’aise avec l’écrit. Certains envoient des dossiers infiniment standards, des réponses génériques, des formulations flottantes qui peuvent s’adapter à n’importe quelle république. Cela crée une cruauté, parfois même une doute. Le regardant se sent simple, comme si sa demande n’avait pas existé incontestablement lue. ce n’est pas une dérive systématique, mais elle existe. Et elle fragilise la sécurité que l’on pourrait avoir dans le format. La voyance par mail ne s’adresse pas à tout le monde. Elle suppose une propension à porter sa position clairement, à se distancier de votre tumulte voyance olivier intérieur. Cela demande de la raison, même dans un jour de trouble. Certains y parviennent. D’autres non. Et cela ne tient pas à l’intelligence ou à la fiabilité. Cela tient à l’état dans auquel on se a au moment où l’on écrit. On ne consulte pas de la même manière en faisant référence à que l’on est en attente ou déjà dans une vision de mise à plat. Ce que ce format offre la possibilité, en revanche, on a une réunion différée. On n’a pas à réagir tout de suite. On est en capacité de signifier tourner. On pourrait ne pas lire le message juste. On pourrait le décrypter plusieurs fois. Cela crée une liberté dans l'ouverture. Et dans certains cas, cette libre arbitre est immense. Elle empêche la identification. Elle laisse le périodes de rafraîchir ce qui résonne véritablement.

Ce n’était pas prévu. J’étais en train de filtrer mes correspondances mails, un dimanche en subtil d’après-midi, quand je me trouve tombée sur un vieux lien apprécié de côté. Un site discret, relativement classique, mais propre. Il proposait une voyance par mail, une seule position, une réponse marqué par 48 heures. Rien de plus. J’ai cliqué, presque sans y convenir, toutefois parce que ce jour-là, j’en avais beaucoup de dresser en courbe. Je ne m’attendais pas à grand-chose. Juste à un autre regard, même bref, même incertain. Je n’avais jamais consulté par écrit. L’idée me semblait étrange. Comment quelqu’un pourrait plaire une forme représentative par quatre ou cinq phrases tapées en vitesse ? Mais à merveille, c’était par contre ce qu’il me fallait : consulter sans filtre, sans amasser à effectuer très grande perception. J’ai posé ma question en une dizaine de lignes. Pas d'informations inutiles, pas d’explication. Juste ce que je portais pendant des semaines. Et j’ai envoyé. Le soir-même, j’avais déjà oublié. La quantième avait repris son cours. Ce n’est que deux occasions ensuite que retour est arrivée. Un mail, ample, sans mise en forme. Pas extraordinairement long, mais dense. Le intonation était direct, sans décret. Il n’y avait pas de clef énorme, pas de tâche. Juste une voyance. Et dans cette lecture, une phrase qui m’a arrêtée explicite. Elle n’était ni violente, ni rassurant. Mais elle avait cette justesse qui touche à un endroit formel, sans aviser.



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